nom complet ☰ Porter, doux nom que j'eus à ma naissance mais ce n'est pas pour autant que je suis fier de le porter. âge, date et lieu de naissance ☰ J'ai vingt-neuf ans, oui je sais et tu peux fermer ta gueule... Et je suis né le 27 Août 1988 à Manchester origine(s) et nationalité(s) ☰ Je suis anglais ainsi qu'américain et j'ai les mêmes nationalités. statut civil ☰ Célibataire a quoi bon se prendre la tête avec quelqu'un qui t'apportera que des emmerdes ? statut familial ☰ Sans enfants, jamais de la vie, et fils unique. occupation(s) ☰ Mannequin mais j'aime m'envoyer en l'air avec hommes et femmes aussi. Comment ça j'suis un pervers ? Non non... J'suis très sain d'esprit et j'aime les seins ! orientation sexuelle ☰ Je suis bisexuel, pourquoi se priver de tous les plaisirs ? traits de caractère ☰ Pervers, tactile, agressif, manipulateur, intelligent, souriant, blagueur, observateur, sympathique... groupe ☰ Love Is A Work Of Heart

forever young.

› Famille, j'ai vécu dans une famille de grands militaires qui m'ont toujours menés la vie dure, autant dire simplement qu'on ne s'entend pas eux et moi. › Drogues en tout genre, j'en consomme plus que régulièrement, tous les jours, plusieurs fois par jours. C'est mal et je le sais mais je ne peux m'en passer. › Bisexuel, je le suis oui et alors ? D'aucune façon c'est un mal, j'aime profiter de la vie avec hommes comme femmes. › Célibataire endurcit, je n'ai jamais été en couple, ça ne m'intéresse pas du tout et je ne compte pas me caser, je préfère les plaisirs de la chair. › Mannequin, oui je le suis, celui que vous voyez en photo dans des magasines en sous-vêtements comme habillé c'est bien moi. › Voyages, j'aime en faire de partout et ailleurs, c'est quelque chose qui me plaît tout particulièrement. › Problèmes psychologiques, je vois un psy depuis une dizaine d'années maintenant il m'a diagnostiqué bipolaire avec de gros soucis d'agoraphobie, c'est difficile à gérer.. › Chien, je possède un animal, un chien, un gros chien c'est un rottweiler il s'appelle Karl parce que j'adore Karl Lagerfeld !

so many candles... so little cake.

Ma via n'a jamais été un long fleuve tranquille et pour cause j'ai vécu des choses plus ou moins difficiles au cours de ma vie, moi en tout cas je les ai très mal vécu... On dit souvent que l'enfance c'est le meilleur moment de notre vie. Conneries ... Putain si seulement j'avais pu avoir une enfance normale, une enfance sans problèmes je serais sans doute pas comme je suis actuellement c'est à dire un bel enfoiré. C'est souvent comme ça que je me définis.

Grandir dans une famille de grands militaires ça n'a sans doute pas aidé à ce que je me sente bien, à ce que j'ai envie de m'ouvrir aux autres. Durant toute mon enfance je voyais toute ma famille partir au combat pour ceux qui y étaient que ce soit des cousins, comme mon frère plus âgé que moi de quinze ans, il est partit à l'armée un jour alors que j'avais dix ans et il n'en est jamais revenu. Conneries. Si seulement les militaires n'existaient pas il n'y aurait pas de guerres, juste des cons qui pensent qu'on résout tout par la violence, c'est tout, pas de guerres juste des cons. Mon enfance s'est résumée à ça, à chaque repas que ce soit le petit-déjeuner, le déjeuner, le goûter, le dîner on ne parlait que ça, qui est à la guerre dans tel ou tel pays, s'il est vivant, s'ils ont eu des nouvelles... Comme si un gosse en a quelque chose à foutre de la guerre... Comme s'il savait seulement ce que c'est... Mais je fermais ma gueule, j'étais un gamin obéissant et bien gentil du coup je ne disais jamais rien et j'ai rapidement compris qu'on ne posait pas de questions à table, qu'on laisse les adultes parler entre eux. Je passais le plus clair de mon temps hors de la maison auprès de mon meilleur ami et voisin, un brun nommé Taylor, un mec du même âge que moi que j'adorais à l'époque. Lui venait d'une famille de gros catholiques qui ne pensaient qu'à la religion et lui ça le gonflait et moi ça me gonflait déjà à l'époque de vivre dans une famille de meurtriers, des militaires. Donc on s'entendait bien. Nous allions à l'école ensemble, on passait  tout notre temps fourrés ensemble, c'était génial quand j'étais avec Taylor...

Puis finalement alors que j'eus dix ans nous avons déménagés mon frère est mort à la guerre et ç'a anéantit mes parents, avant nous vivions à Manchester et nous sommes allés du côté de Weymouth afin de nous isoler de toute cette merde et des mauvais souvenirs. Moi, le fait est d'apprendre que je ne reverrais jamais Charlie mon frère ça m'a tué à l'époque même si je n'en ai rien dis. Et puis déménager ce fût dur parce que non seulement je perdais Taylor mais je perdais également mes copains à l'école, mes profs que j'adorais et j'en passe. C'était dur. Comme n'importe quel déménagement dans une autre ville. Mais heureusement j'ai réussi a me faire des copains à Weymouth et puis la vie ici n'est pas si difficile à vivre que ça. C'est un beau coin et nous vivions dans une superbe maison. Enfin voilà mon enfance aura été bien difficile pour moi à vivre mais le pire n'est pas loin du tout, n'allez pas croire, j'en ai vécu d'autres des grosses merdes....

Si mon enfance t'a particulièrement choqué ne lis pas la suite, mauvaise idée... Parce que mon adolescence n'est qu'un ramassis de conneries sans fin. J'ai compris très tôt que j'aimais autant les hommes que les femmes, j'avais douze ans quand j'ai compris et depuis ça n'a aucune importance pour moi, je suis comme ça ouais et alors ? Qu'est-ce qu'on s'en fou après tout hein ? Et puis entre nous ça ne regarde que moi. Le sexe est rapidement devenu une grosse dépendance pour moi, je ne pouvais m'en passer. J'ai perdu ma virginité quand j'avais douze ans et quand j'en avais quatorze j'avais déjà couché avec toute les personnes de mon école garçons bisexuels ou gays comme les filles hétéros et j'en étais fier. Souvent l'école appelait mes géniteurs pour leur signifier que j'avais été surpris en plein ébat sexuel dans le collège et que j'étais renvoyé pendant plusieurs jours. Bien vite j'ai été la honte de la famille, celui qu'on pointe du doigt, la grosse merde de la famille qu'ils disaient. Qu'est-ce que j'en ai à foutre sérieusement ? Je préfère être le gros baiseur de la famille plutôt qu'être comme eux, de putains d'assassins... Moi je me sers de mon engin pour donner du plaisir à hommes ou femmes eux ils se servent de leurs putains de flingues pour tuer des gens pour en sauver d'autres. Qui est la grosse merde dans cette histoire hein ?

J'ai toujours vu les choses comme ça, je n'ai aucun respect pour les militaires, aucun, je les hais tous autant qu'ils sont parce qu'ils mènent la vie dure et je sais de quoi je parle. Alors oui lorsque mon géniteur est partit à la guerre quand j'avais quinze ans et qu'il n'en est jamais revenu lui non plus je n'ai pas été triste, pas du tout, j'étais même heureux en fait... Très heureux parce qu'en fin de compte je m'étais simplement dis qu'un criminel de moins était mort et que c'était très bien comme ça... Je l'ai toujours vu comme ça et je l'ai très clairement dis à ma mère qui m'a envoyé chier dans ma chambre visiblement vexée par mes mots durs à l'égard de son époux. Ma mère n'a pas été envoyée à la guerre elle, elle n'est pas militaire mais médecin militaire mais cette fois-ci ils l'ont laissée ici... Tant mieux pour elle tant pis pour moi. Oui je souhaitais sa mort comme ça je me disais que j'en serais débarrassée d'elle et de tous ces militaires qui me gonflaient au plus haut point. C'était dur pour moi de vivre avec eux et d'être traité comme un moins que rien parce que moi ma fierté c'est ma queue tandis qu'eux c'est leur métier. Chacun son trip...

Au bout du compte j'ai quitté le domicile familial très tôt, j'avais dix-huit ans soit l'âge légal pour me casser de chez elle et j'étais bien heureux. Au début j'enchainais les petits boulots, barman, serveur, vendeur dans un sex shop, veilleur à la piscine, secouriste à la plage pendant des vacances d'été et j'en passe. Je me faisais du blé de différentes façons quand soudain un soir alors que j'animais une soirée dans un bar où je bossais habituellement comme barman un type est venu et m'a fait remarquer que j'étais vraiment beau gosse, ce que je savais déjà, il m'a apprit être le PDG d'une agence de mannequin et que, si je voulais changer de milieu de travail il serait ravi de m'offrir une chance dans ce monde. J'en croyais pas mes oreilles mais j'ai bien voulu le suivre jusqu'à son agence et depuis mes vingt-cinq ans je suis mannequin. Et autant dire simplement que je roule sur l'or. Ce type a tout simplement changé ma vie et dans le bon sens évidemment. Je le remercie à chaque fois que j'en ai l'occasion parce qu'en fin de compte si j'ai réussi dans la vie c'est uniquement grâce à lui. Oh évidemment le fait est de devenir mannequin a fait parler les personnes de ma famille qui se disent que je suis un gros con du début jusqu'à la fin... Rien à foutre, qu'ils pensent ce qu'ils veulent, moi je suis heureux comme ça en exhibant mon corps devant des appareils photo, si ça plaît tant mieux si ça plaît pas je m'en fou... Ma vie me convient ainsi et pour moi c'est tout ce qui compte...

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