nom complet ☰ Olenka, un prénom typique de sa terre natale, un prénom qui met en avant ses origines slaves, un prénom que l'on ne peut oublier. Lewinski, nom qu'elle tient de son père, tout simplement. âge, date et lieu de naissance ☰ Née à Kalisz en Pologne, une fraîche nuit de mai, le trois exactement et tout juste âgée de 23 ans. origine(s) et nationalité(s) ☰ Venue des pays de l'Est, Olenka est fières de ses origines polonaises. Elle possède également des origines russes par sa grand-mère maternelle. statut civil ☰ Célibamoureuse statut familial ☰ La majorité des siens n'ont pas quitté la Pologne. Seule elle, son petit frère ainsi que sa mère en sont partis pour l'Angleterre. occupation(s) ☰ Serveuse orientation sexuelle ☰ Hétéro traits de caractère ☰ Honnête - franche - bienveillante - joviale - sociable - optimiste - audacieuse - téméraire - rancunière - têtue - perfectionniste - maligne - indépendante groupe ☰ LAUGH OFTEN LOVE MUCH.

forever young.

› Olenka est arrivée à Weymouth il y a une dizaine d'années. Elle parle couramment deux langues, l'anglais et le polonais qui est sa langue maternelle. De plus, elle ne s'est jamais débarrassée de son accent slave. › Véritable artiste, elle passe souvent son temps libre à peindre où a dessiner. Elle possède un réel potentiel et a du talent. Ses toiles sont si nombreuses qu'elle ne sait plus quoi en faire, les murs de son appartement en sont déjà complètement recouvert! › Olenka c'est une fille simple qui prône le naturel. Elle ne se maquille pas ou peu, et n'arbore aucune modification corporel. Pas même de coloration capillaire. › Que serait un anglais sans sa tasse de thé? En total adéquation avec le cliché, Olenka est une adoratrice du thé. Comme certains s'abreuvent de café, elle c'est du thé. Son favoris est le thé vert, bien qu'elle en possède une vaste collection chez elle et de toutes sortes! › Sa plus grande peur est le noir. Une vraie phobie, Olenka est tout simplement incapable de rester calme dans l'obscurité des plus totales. Impossible pour elle de dormir sans un quelconque point de lumière lui permettant de voir sa chambre. Elle panique dès qu'elle est confrontée au noir complet! › Elle n'a jamais été une grande romantique, ne s'est même jamais montrée particulièrement fleur bleue. Cela n'a jamais été son truc, d'ailleurs elle n'a jamais été doué pour exprimer ses sentiments, quels qu'ils soient. Plutôt maladroite dans ce domaine. Cependant, elle croit secrètement au grand amour, à celui qu'on ne vit qu'une fois et qui vous fait vibrer. Elle espère rencontrer le sien, un jour. › L'une de ses grand-mère avaient des croyances particulières et se prétendait médium. Olenka a apprit à lire dans les cartes grâce à cette dernière, libre à qui veux d'y croire. De plus, Olenka a aussi hérité de cette dernière le fait d'être superstitieuse. Aucune chance de briser un miroir sous peine d'être maudit pour les sept ans à venir!

so many candles... so little cake.

<< Olenka, c'est l'heure de partir. >> Avait répété Agnieszka à sa fille, dans leur langue natale.
L'enfant avait grogné, avait fait la moue. Elle n'était pas prête à quitter la ville où elle avait grandit, ni même le pays qui l'avait vu naître. La Pologne c'était chez elle, sa maison. Olenka n'avait connu qu'elle et devoir partir la terrifiait. Elle se sentait déracinée, on l'enlevait de sa famille, de ses amis. 
Depuis près d'un an, ses parents étaient séparés. Sa mère avait demandé le divorce suite à l'adultère de son mari, et ce dernier vivait désormais avec sa maîtresse bien plus jeune que lui. Libre, l'ancienne madame Lewinski décida après mûre réflexion, de refaire sa vie. Elle avait toujours désiré vivre en Angleterre et dès que l'opportunité se présenta à elle, elle n'hésita pas à la saisir et emmena ses enfants avec elle.
Olenka avait quatorze ans lorsqu'elle fut contrainte de suivre sa mère à ce qui lui paraissait être le bout du monde. Son petit frère, lui, n'en avait que douze. Et pourtant, cet horripilant cadet qui avait le dont de la mettre dans tous ses états, était plus qu'enthousiaste à l'idée d'habiter dans un nouveau pays. Complètement euphorique. Tandis qu'elle, l'aînée, traînait des pieds et faisait part de son mécontentement dès qu'il le lui était possible.
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A sa grande surprise, Weymouth n'était pas un endroit aussi détestable qu'elle l'avait imaginé. Les premiers temps s'étaient avérés difficiles pour Olenka et son petit frère, la barrière de la langue ne leur ayant pas fait de cadeau. Finalement et plus vite qu'ils ne s'en aperçurent, les deux enfants n'étaient plus handicapés par la langue de Shakespeare. 
Ils se faisaient comprendre, bien que leur anglais fut loin d'être irréprochable. Aujourd'hui encore, lorsqu'Olenka s'exprime, elle ne peut dissimuler son accent slave, rappelant à qui veut l'entendre ses origines des pays de l'Est.
L'adolescente s'acclimata rapidement à son nouvel environnement. En revanche, l'année suivante, elle eut plus de mal à apprécier le compagnon de sa mère.
Sa mère avait rencontré quelqu'un et reconstruisait sa vie. D'ailleurs, ils finirent pas se marier et vivre ensemble. Toutefois, au début Olenka et son beau-père était en conflit permanent. Inconsciemment, la jeune fille avait peur pour sa mère, peur que ce dernier ne les abandonne comme son propre père l'avait fait avant lui. Lorsqu'elle s'aperçut qu'il était quelqu'un de bien ses appréhensions disparurent et leurs querelles cessèrent. 
Son père de substitution s'avéra même bien plus présent que son géniteur durant les treize années où père et fille vivait en famille. 

En effet, lorsque'Olenka fut plus âgée, alors qu'elle était encore qu'au lycée, elle fit la rencontre d'un garçon qui fut sa première peine de coeur. Il était plus âgé qu'elle de quatre ans, son premier béguin, sa première histoire, son premier amour. Une idylle qui la dévasta lorsqu'elle prit brutalement fin. Et c'était lui, ce beau-père qu'elle avait si longuement méprisé qui se montra présent pour elle, pour la consoler et l'épauler. Il était de sa famille, bien plus que son père biologique qui ne prenait de ses nouvelles uniquement les étés où elle et son frère retournaient en Pologne durant les vacances. De plus, il avait lui aussi son nouveau foyer. Il venait d'être une fois de plus papa d'un petit garçon, négligeant ainsi régulièrement ses premiers enfants.
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A l'âge de 20 ans, Olenka quitta le cocon familiale. Il était temps pour elle de vivre sa propre expérience de la vie. Encore étudiante, elle partageait son quotidien entre petits boulots et les cours. Au début, elle cohabitait avec des amies de l'université. Malheureusement, les joies de la colocations avec ses copines prirent fin dès lors que l'une d'entre elles entreprit de vivre avec son petit-ami. Quant à la seconde, elle quittait la ville pour s'épanouir ailleurs. Olenka se retrouvait donc seule dans un appartement bien trop grand. Par manque de revenus, elle avait abandonné ses études qui ne lui plaisaient plus afin d'obtenir un job à temps plein. Il devenait également urgent pour la douce polonaise de trouver de nouveaux colocataires!
Ce fut à cette même période, qu'elle le rencontra, lui, ce type qui venait chaque matin déjeuner sur son lieu de travail. Olenka ne lui avait jamais réellement prêté attention, pourtant c'était pour elle qu'il était spécialement venu plus tôt, ce jour là. Lui aussi cherchait activement un nouveau lieu de vie. Et son affiche était tombée à pic entre ses mains!

Rapidement, il avait déposé ses affaires dans son appartement, égayant celui-ci de sa présence. Olenka qui l'avait toujours considéré comme un simple client, le voyait désormais comme un ami. De rien, ils s'étaient rapprochés, un lien fort les unissaient présentement.
La jeune femme de l'Est n'avait en aucun cas songé qu'un inconnu pouvait s'avérer être un ami cher à son coeur. Ils étaient fusionnels. Parfois trop. Leur relation était devenue ambigu, ils étaient inséparables avec une amitié forte, mais des sentiments s'en sont mêlés et compliquèrent les choses. Alors que lui lui avait fait par de ce qu'il ressentait pour elle, Olenka elle, restait confuse, sans savoir quoi dire ni faire. Loin d'être insensible à ce dernier, elle avait pourtant peur de l'engagement. Elle n'était pas prête à s'ouvrir à une nouvelle histoire, et ne désirait pas non plus briser une amitié qu'elle chérissait tant. Malheureusement, ce que la brune redoutait prenait progressivement place entre elle et son meilleur ami. Bien qu'ils vivaient ensemble, une tension était palpable. Ils n'étaient pas en conflit, mais il était évident que ce dernier s'éloignait de sa colocataire. Alors, lorsqu'il amena une nouvelle coloc', une fille dont il semblait également proche, Olenka vit rouge. La jalousie l'avait doucement gagné.
Voilà comment était sa vie à présent, coincée dans une colocation avec celui qu'elle aimait en secret et la fille sympa qu'elle prenait plaisir à détester!

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