nom complet ☰ (Princesse) Jazz McField âge, date et lieu de naissance ☰ 31 ans, pas toujours très assumés. Née un 14 juillet à Weymouth. origine(s) et nationalité(s) ☰ Ma grand mère est Australienne. SO. statut civil ☰ Célibatarde. C'est tellement plus amusant de voir ce que le monde peut nous offrir de mieux que ce que l'on connait déjà. statut familial ☰ Rien de très original. Fille unique de parents désormais divorcés. Très proche de ma mère, en conflit perpétuel avec mon père. occupation(s) ☰ Secrétaire dans une écurie. Tout le monde le sait, les hommes n'ont que deux fantasmes : Les jolies filles et les grosses voitures. J'ai les deux. orientation sexuelle ☰ Bisexuelle. Je n'ai pas vraiment de limites en vérité. J'aime les corps et les âmes, qu'ils soient féminins ou masculins n'a que peu d'importance. traits de caractère ☰ Adorablement jalouse. Excessivement possessive. Terriblement narcissique. Manipulatrice à souhait. Néanmoins, quand j'aime je donne tout. Un ange et un démon dans un seul corps. Aussi gentille que garce. Aussi généreuse que moqueuse. Bref. Je suis surprenante. On ne va pas s'ennuyer. groupe ☰ LOVE IS A WORK OF HEART

forever young.

› Ce qui me différencie des autres? MOUAHAHA. Vous n'avez donc peur de rien? Je pourrais écrire et écrire pendant des heures à propos de ce sujet : MOI. Mais commençons par le plus important. > Je suis une princesse. Une vraie de vraie. Je ne sors jamais de chez moi sans être parfaite, je suis donc vraiment exigeante. Que ce soit avec les autres comme avec moi même d'ailleurs. Je ne mérite que le meilleur, c'est évident. Je suis une compétitrice dans l'âme et je suis prête à tout pour avoir ce que je veux. Quand je parle on m'écoute, quand j'ordonne on m'obéit. Ca peut vous sembler un peu prétentieux, vous avez raison. Prétentieuse et ambitieuse sont deux termes qui me collent à la peau. > Je ne tombe pas amoureuse. L'amour est un concept que je laisse aux adolescents en manque d'amour. Je profite de ce que la vie saura me donner, il est donc certain que l'amour ne sera jamais une priorité. Je n'aime pas les fleurs, alors si tu veux vraiment me séduire, achète moi un jean. Au moins ça me servira à quelque chose et je garderai un souvenir de toi. > Je suis une amie fidèle. Contrairement à l'amour - en y repensant c'est finalement assez drôle - je suis fidèle en amitié. Mes copines sont mes trésors et je me battrais corps et âme pour elles. Quitte à en venir aux mains, rien ne me fait peur. > Je suis sportive. Vous devez vous demander d'où me vient toute cette énergie inépuisable. En réalité j'ai fait de la boxe de très longues années. Et oui, une fille peut avoir des ongles parfaitement manucurés et donner des pains dans la tronche. Ma mère disait que c'était le meilleur moyen de "canaliser mon énergie". Je n'étais pas une enfant modèle, je m'énervais assez rapidement et je n'avais pas peur des mots. Je pense que ma pauvre mère avait dû trouver dans ce sport un dernier espoir de me canaliser. > J'ai la phobie des enfants, pire : des bébés. Ne me dîtes plus une fois dans ma vie "31 ans, et tu n'as pas encore d'enfants? Attention! L'horloge biologique tourne!" où je vous achève. C'est promis.

so many candles... so little cake.

enfance - Je crois que mon souvenir d'enfance le plus marquant fut celui du divorce de mes parents. Plus précisément de leurs nombreuses disputes dans le salon. Je me revois encore, assise dans les escaliers, me bouchant les oreilles pour les cris s'estompent, ne serait-ce qu'un petit peu. Les insultes fusaient, les reproches s'accumulaient. J'avais sept ans, et j'avais déjà une image très ancrée de ce que devait ressembler un couple amoureux : deux personnes qui s'entretuent. Charmant. Mais ça explique une grande part de ma personne quand on y repense. Ils ont finalement décidé de mettre un point définitif à leur "idylle" trois ans plus tard. Je suis partie vivre avec mon père, ma mère n'avait pas les moyens de m'héberger dans l'appartement qu'elle venait de retrouver. Comme la plupart des enfants de divorcés, je la voyais uniquement pendant les vacances scolaires. Mais notre lien a toujours été assez fusionnel. Contrairement à celui que j'entretenais avec mon paternel. On ne peut pas dire que ce soit quelqu'un qui ce soit particulièrement occupé de mon éducation. J'avais le droit de manger des chips au petit déjeuner, il ne vérifiait jamais si j'avais fait mes devoirs ou non, il me présentait chacune de ses conquêtes pour avoir un avis "objectif", disait-il. C'est en regardant la façon dont se comportait mon père avec les femmes que je me suis promis de ne jamais me laisser faire, de ne jamais me mettre à genou devant un garçon pour qu'il m'aime. J'ai ainsi bâti les valeurs fondamental de ma vie amoureuse à l'âge de dix ans. En bref, j'ai grandi dans un milieu modeste. Pas de paillettes ni de cuillères en argent dans la bouche, comme certain pourraient le penser en m'observant pour la première fois.
adolescence - C'est à partir de ce moment précis que les choses ont commencé à se gâter. Comme mon père ne prêtait pas une grande attention à ce que je faisais, j'en profitais largement. J'ai commencé à sortir un peu trop tard le soir, à faire des rencontres pas toujours convenables, à boire de l'alcool et à fumer beaucoup trop de cigarettes. Ma vie prenait un mauvais tournant. Je le savais et je ne faisais rien pour l'en empêcher. J'avais un besoin monumental d'adrénaline. Il fallait qu'il se passe quelque chose dans ma vie. Crise d'adolescence typique. J'étais une gamine de banlieue à qui il n'était jamais rien arrivé d'excitant et j'avais besoin d'aventures. Mais une chose, ou plutôt quelqu'un est parvenu à me sauver à ce moment précis de ma vie. Mon père, ma nouvelle belle-mère (éphémère, c'était son surnom) et son fils venaient d'emménager dans une nouvelle maison. Ils voulaient à présent que l'on forme la petite famille parfaite. Evidement, cette idée ne me plaisait pas du tout. Et j'étais prête à tous les subterfuges pour leur faire vivre un enfer. Mais j'ai rencontré la famille Spencer. Un jour, un garçon est venu s'assoir sur ma balançoire, il s'appelait Enzo. Je ne savais pas qui il était, ni d'où il venait. Mais pour la première fois de ma vie j'avais réellement envie d'apprendre à connaitre quelqu'un. Nos familles sont rapidement devenues proches, et nous aussi. Nous étions des enfants, et il est devenu le meilleur ami que je n'ai jamais eu.
Et aujourd'hui? - Vous vous demandez surement ce qu'il s'est passé finalement avez ce fameux Enzo. Et bien, en grandissant, je suis tombée follement amoureuse de lui. J'étais également devenue la reine du lycée, Pom-pom girl et je faisais partie intégrante des meilleurs élèves de ma classe. C'était mal parti et pourtant. Comme quoi tout arrive. Je suis devenue un véritable cliché blond dans toute sa splendeur. Enzo et moi, nous sommes sortis ensemble un temps, ma seule et unique histoire d'amour "réelle". Il a été toutes mes premières fois, il me connait par coeur. Et pourtant cette histoire si bien démarrée n'a pas fonctionné. (Il fallait un hic) Je vivais encore dans un monde tout rose où j'imaginais mon chéri fidèle et stable, tout le contraire de ce qu'il est. Nous nous sommes donc séparés peu de temps après le lycée. Je suis quelqu'un de fière. Je n'en parle plus aujourd'hui. J'ai refoulé mes sentiments quelque part dans le désert de Gobi. Je suis devenue une femme libre (ou "libérée" ça dépend de la vision que vous en avez). Je ne suis plus à la recherche de l'amour, on m'a prouvé par A+B que ce n'était pas possible. Je suis dorénavant en quête constante de sensations nouvelles. Si j'ai tiré une croix définitive sur Enzo? Vous êtes des petits malins vous. Nous nous voyons encore. Souvent. J'ai du mal à tirer un trait sur les personnes que j'ai aimé. Je me suis donc débrouillée pour travailler avec lui, en tant que sa secrétaire (sexy hein?). Nous couchons encore ensemble, c'est vrai. Des sentiments? Joker.

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